La fille de Brest : un film à voir absolument (si ce n’est déjà fait)

Je viens de regarder en VOD le film «La fille de Brest» qui raconte le combat de la pneumologue Irène Frachon contre les graves effets secondaires occasionnés par le médicament Mediator des laboratoires Servier, à la base médicament antidiabétique (même pas efficace, en plus!) mais souvent prescrit comme coupe-faim (ceci, bien sûr, hors AMM…).

Documentaire « Pièces à conviction » Médicaments : effets secondaires ou mortels ?

J’ai regardé sur FR3 le documentaire « Pièces à conviction » Médicaments : effets secondaires ou mortels ? (hélas, plus disponible en replay) et je peux vous assurer que c’est tout simplement effrayant le peu de cas que les labos et toutes les hautes instances gouvernementales font de notre santé et de notre vie !

Monsanto travaille pour notre santé. Exactement comme les labos pharmaceutiques ???

Une nouvelle information commence à faire du bruit : suite à une « class action », la justice fédérale américaine a déclassifié, jeudi 16 mars, plus de 250 pages de correspondance interne de la firme agrochimique, montrant que cette dernière s’inquiétait sérieusement, dès 1999, du potentiel mutagène du glyphosate, principe actif de son produit phare, le Roundup, et molécule phytosanitaire la plus utilisée au monde. Le pire étant que la veille même, l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA) annonçait qu’elle ne considérait le glyphosate ni comme cancérogène ni même mutagène – c’est-à-dire capable d’engendrer des mutations génétiques.

A lire sur l’excellent magazine Basta une interview d’Irène Frachon !

Le magazine Basta dont la qualité et l’indépendance ne sont plus à démontrer (j’en profite pour leur faire un peu de pub : si vous voulez soutenir financièrement Basta,c’est le moment. Ils en valent vraiment la peine !) a réalisé une interview D’Irène Frachon à propos de l’affaire du Médiator. Elle y relate les manœuvres retors … Lire la suite

Entre 2011 et 2015, ce ne sont pas moins de 96 associations, sociétés savantes et autres organisations impliquées dans la santé publique – et non des moindres – qui ont bénéficié des largesses de Coca Cola et Pepsi Cola

C’est ce que révèle cette étude qui fait suite aux révélations des pressions de l’industrie sucrière dans le but de minimiser les effets délétères du sucre sur les maladies cardiovasculaires tout en faisant porter le chapeau aux graisses. 96 organisations, dont 63 sont des organismes de santé publique, 19 des sociétés médicales, 7 des fondations … Lire la suite