COVID-19 : Serait-ce l’amorce du clap de fin pour les vaccins ?

Et peut-être même le moment d’envisager, pour ceux qui possèdent des actions de Pfizer et Moderna, de s’en séparer…

Donc, nous avons :

  1. Une étude réalisée in vitro et démontrant que la neutralisation du variant Omicron par les vaccins est réduite entre 11 et 38 fois1 (je vous laisse le soin de lire l’étude pour plus de détails). J’ajouterai une mention particulière pour les vaccinés 2 doses dont l’efficacité est à peine supérieure à zéro après 3 mois et atteint le zéro absolu passé 6 mois… On peut remarque aussi que les anticorps monoclonaux actuellement utilisés sont inefficaces contre ce variant.
  2. Une autre étude2 qui estime qu’une infection antérieure (naturelle) par le SRAS-CoV-2 permet une réduction d’au moins 80 % du risque d’infection par le variant Omicron.
  3. Les premières données hospitalières en provenance d’Afrique du Sud3 démontre que ce variant est certes plus transmissible, mais qu’en contrepartie serait beaucoup beaucoup moins dangereux que le variant Delta, les symptômes étant bien souvent équivalents à celui d’un gros rhume.
    Ce qui semble se confirmer :

Hélas, nous avons aussi :

  1. L’Union Européenne qui a réservé 4,6 milliards de doses4 de vaccin dont 912 millions ont été effectivement livrées (l’obscurantisme au sein de la Commission Européenne étant la règle, on se contera de ces « maigres » données…), soit une prévision de 6 doses par personnes (en comptant les adolescents, les enfants et les nourrissons). En tenant compte que de nouvelles commandes et pré-commandes sont en cours5, cela laisse une certaine marge permettant une quatrième dose, suivit d’une cinquième, puis d’une sixième, voire plus si affinité.
  2. L’Agence Européenne du Médicament (EMA) vient de décréter que les doses de rappel de vaccin contre le Covid-19 pouvaient être administrées de façon sûre et efficace trois mois seulement après la dernière injection6. Ce qui signifie clairement que les délais entre deux piqûres vont se raccourcir…
  3. Des labos qui préparent un vaccin effectivement efficace contre le variant Omicron (ben oui, parce que l’actuel est efficace, mais finalement pas tant que ça, et que si on pouvait refourguer de nouveaux vaccins en augmentant les prix au passage, ce serait bien pour la santé de nos actionnaires…). Vaccins qui devraient arriver en mars, pile-poil pour la quatrième dose (cf réduction du délai entre les doses de rappels ci-dessus…) !

L’ensemble des faits étant posé, je laisse le soin aux lecteurs de ce site de deviner qu’elle sera l’issue choisie par nos dirigeants sous la pression d’une Union Européenne corrompue7, des divers fabricants de vaccins et des lobbies associés, de l’OMS (qui agit sous les conseils de ce taré de Bill Gates qui en est le deuxième plus gros financeur8) mais aussi de la vox populi dont on a tellement lavé le cerveau que 71 % ont déclaré avoir confiance dans la vaccination contre le Covid-199 !

 

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