Rapport de la commission du Congrès des États-Unis sur la pandémie de Covid-19 (2)

Efficience et transparence de l’utilisation des fonds du contribuable et des programmes d’aide pour lutter contre la pandémie de coronavirus, y compris tout signalement de gaspillage, de fraude ou d’abus

Le rapport pointe les lacunes concernant l’attribution des aides à la Covid-19 et reconnaît les nombreux abus, gaspillages et fraudes qui ont eu lieu. Celui-ci reconnaît la perte d’au moins 64 milliards de dollars de l’argent des contribuables au profit de fraudeurs et de criminels. En outre, 200 millions de dollars de l’argent des contribuables ont été perdus en raison de l’incapacité de la SBA à exercer une surveillance adéquate, à mettre en œuvre des contrôles internes et à garantir la mise en œuvre de mesures de protection contre la fraude et, cerise sur le gâteau, la moitié de l’argent des contribuables perdu dans les programmes d’aide COVID-19 a été volé par des fraudeurs internationaux.

Et pour ce qui est de la France, quid des aides versées aux entreprises pendant cette période par le gouvernement ? Notamment pour les entreprises du CAC40 qui, pour la majorité, en ont profité pour augmenter les dividendes accordés à leurs actionnaires tout en supprimant de nombreux emplois¹ (le fameux « en même temps »…). Sans compter la fraude qui a coûté plus de 170 millions d’euros²…
Comme quoi, chez nous aussi, l’argent a été largement distribué sans aucun contrôle, ni contrepartie, ni engagement de la part de ces entreprises.
Pour en rester dans les petites phrases, le fameux « quoi qu’il en coûte » aura finalement coûté 170 milliards d’euros aux finances publiques, aggravant (entre fin mars et fin juin 2020) la dette publique de 12,7 points³. Alors qu’il est démontré que les pays qui ont le moins confiné s’en sont mieux sortis économiquement⁴.

Mise en œuvre ou efficacité de toute loi ou réglementation fédérale appliquée, promulguée ou envisagée pour faire face à la pandémie de coronavirus et se préparer aux futures pandémies

ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ (OMS) :

La réponse de l’OMS à la pandémie de COVID-19 a été un échec lamentable, car elle a cédé à la pression du Parti communiste chinois et a placé les intérêts politiques de la Chine avant ses devoirs internationaux. D’autre part, le dernier effort de l’OMS pour résoudre les problèmes exacerbés par la pandémie de COVID-19, via un « Traité sur la pandémie », pourrait nuire aux États-Unis.

On sait depuis longtemps que l’OMS est complètement corrompue. En outre, le fait que le plus gros financeur de celle-ci soit ce psychopathe de Bill Gates ne laisse pas non plus présager rien de bon⁵…

DISTANCIATION SOCIALE :

La recommandation de distanciation sociale de « 2 mètres de distance », qui a entraîné la fermeture des écoles et des petites entreprises dans tout le pays, était arbitraire et non fondée sur la science. Lors d’un témoignage à huis clos, le Dr Fauci a déclaré que cette recommandation « est en quelque sorte apparue comme ça ».

En quelque sorte, une recommandation au doigt mouillé sortie de nulle part. Et dire qu’ils nous ont fait passer ça pour de la vraie science ! Hélas, ça ne sera pas la seule recommandation qui ne sera basée que sur du vent.

PORT OBLIGATOIRE DU MASQUE :

Il n’y avait aucune preuve concluante que les masques protégeaient efficacement les Américains de la COVID-19. Les responsables de la santé publique ont changé d’avis sur l’efficacité des masques sans fournir aux Américains de données scientifiques, ce qui a provoqué une augmentation massive de la méfiance du public.

En tant que vilain complotiste, j’avais déjà signalé fin 2022 que des études avaient démontré l’inefficacité du port du masque⁶.

CONFINEMENTS :

Les confinements prolongés ont causé des dommages incommensurables non seulement à l’économie américaine, mais aussi à la santé mentale et physique des Américains, avec un effet particulièrement négatif sur les jeunes citoyens. Plutôt que de donner la priorité à la protection des populations les plus vulnérables, les politiques gouvernementales fédérales et étatiques ont forcé des millions d’Américains à renoncer à des éléments cruciaux d’une vie saine et financièrement saine.

Les pays qui s’en sont le mieux sortis, moralement, physiquement et économiquement, sont ceux qui ont le moins confiné. La France n’en faisait pas partie.
Mais le pire est que certains esprits dérangés commencent déjà à parler de « confinement climatique ». Comme quoi la connerie est un éternel recommencement.

RESTRICTIONS DE VOYAGE :

Les restrictions de voyage rapidement mises en œuvre par le président Trump ont sauvé des vies. Au cours de l’entretien retranscrit du Dr Fauci, il a été d’accord sans équivoque avec toutes les restrictions de voyage émises par l’administration Trump.

Effectivement, il semble tout à fait logique qu’un moindre brassage des populations aide à réduire le déplacement du virus.

DÉSINFORMATION SUR LA COVID-19 :

Les responsables de la santé publique diffusaient souvent de fausses informations par le biais de messages contradictoires, de réactions instinctives et d’un manque de transparence. Dans les exemples les plus flagrants de campagnes de désinformation généralisées, l’utilisation de médicaments hors indication et la théorie de la fuite en laboratoire ont été injustement diabolisées par le gouvernement fédéral.

L’administration Biden a même eu recours à des méthodes antidémocratiques et probablement inconstitutionnelles, notamment en faisant pression sur les réseaux sociaux pour qu’ils censurent certains contenus liés à la COVID-19, pour lutter contre ce qu’elle considérait comme de la désinformation.

Tiens, chez nous aussi, nous avons eu droit à toutes ces malversations ! D’ailleurs, suite à ce rapport, j’attends avec impatience les plus plates excuses des Véran, Castex, Delfraissy, Jupiter (Eh bien, là, les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder…) ainsi que tous les abrutis de stipendiaires qui ont relayé leurs propos nauséabonds.

Finalement, on s’aperçoit que, globalement, notre gouvernement a utilisé les mêmes méthodes de voyou lors de la crise de la covid. En effet, nous avons eu droit, nous aussi :

• Aux masques qui ne servent à rien (ben, de toute façon, au début, on n’en avait pas…), puis brutalement obligatoires alors que de nombreuses études démontraient leur inefficacité.
• À la distanciation sociale et au confinement, avec interdiction de se promener dans la nature, même si c’est vraiment un des rares endroits où l’on a le moins de risques d’y attraper le covid.
• Aux campagnes de désinformation de la part du gouvernement et repris par tous les médias (merdias ?) à ses ordres contre tous les propos, fussent-ils dument sourcés, qui ne propageaient pas la doxa officielle. Le gouvernement et les sbires à sa solde n’ont pas hésité à flinguer des personnalités telles que le professeur Peronne (portant chef de service des maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches) ainsi que bien d’autre (Fouché, Toussaint, Raoult, Toubiana, Mucchielli, etc.) sous prétexte qu’ils contrariaient les thèses du gouvernement. Alors que ce rapport prouve qu’ils avaient raison…
• À l’interdiction faite aux médecins de tenter de soigner le covid⁷. Les consignes étant de rester chez soi avec du paracétamol et d’attendre soit la guérison, soit une hospitalision en réanimation…
• J’y ajouterai notre scandaleux autant que nauséabond « Pass vaccinal » qui a permis de tester l’acceptation par la population d’une mesure coercitive basée sur strictement aucune preuve sanitaire ou scientifique. Juste basé sur un caprice de notre président qui avait envie « d’emmerder les non-vaccinés » ! À l’époque, j’avais été sidéré quant à la facilité d’acception de cette mesure par la population française et je ne comprends d’ailleurs toujours pas comment la population a pu accepter une telle restriction des liberté totalement injustifié.
  À moins que les gens aient peur de la liberté ? À désespérer de la nature humaine !
  D’autant plus que les expériences passées ont démontré que lorsqu’une mesure de restriction des libertés est mise en place temporairement, il n’est pas rare qu’elle ressorte un jour ou l’autre. On peut le constater avec les restrictions de circulation lors des JO de Paris où il était obligatoire d’avoir un QR code pour circuler dans certaines zones, ou encore les caméras de vidéosurveillances, devenue vidéoprotection, mais qui ne servent le plus souvent qu’à surveiller les honnêtes gens ainsi qu’à la verbalisation automatique !

À suivre…