COVID-19 : Comment Pfizer et Astra-Zeneca ont menti et volontairement minoré les effets secondaires de leurs vaccins

Tous ceux qui s’intéressent à l’actualité des vaccins contre le Covid-19, je veux dire la vraie actualité, pas celle de la majorité des médias qui se contentent d’ânonner les mêmes antiennes, ont vu passer l’info sur les nombreuses malversations de la compagnie Ventavia1 qui sous-traitait une partie des essais clinique du vaccin de Pfizer.
Information qui a vite disparu des écrans radar. Ceci ne devant pas perturber la folie vaccinale ainsi que les bénéfices de Pfizer…

Une autre information2 confirme que les effets secondaires des vaccins ont été volontairement sous-estimés lors de ces mêmes essais cliniques.

Quelques éléments :

  • Les investigateurs n’établissent aucun lien entre le vaccin et les décès survenant immédiatement après la première dose du vaccin, jusqu’à 14 jours après la deuxième dose du vaccin. Autrement dit cela représente un total de cinq semaines pendant lesquelles les décès ne sont pas considérés comme étant liés au vaccin.
    Le graphique suivant (provenant du CDC que l’on peut difficilement traiter de complotiste…) qui confirme le niveau de mortalité en fonction des délais se passe de commentaires :
  • Lors des essais cliniques, les effets secondaires sont largement sous-estimés (de l’ordre de 50 % quand même3…) par rapport aux études indépendantes ou à la réalité. En plus, lors des essais cliniques du vaccin de Pfizer et Astra-Zeneca, tout était fait que beaucoup d’effets secondaires ne soient pas signalés :
    • Lors de ces essais, les effets secondaires étaient signalés par l’intermédiaire d’une application numérique, laquelle ne comportait que des options prédéterminées se limitant à des événements indésirables particuliers attendus tels que fièvre, la douleur au site d’injection, température, rougeur, gonflement, fatigue, maux de tête, diarrhée, frissons, douleurs musculaires et articulaires. Par contre, Si les patients étaient confrontés à un événement indésirable grave comme une myocardite ou des signes précoces de myélite transverse, un syndrome de Guillain-Barré, un trouble myopathique, une myocardite ou une thrombose, ils n’avaient pas la possibilité de l’enregistrer sur l’application.
    • La plupart des participants qui développaient des symptômes graves ou invalidants étaient soit systématiquement exclus de l’essai (les fameux perdus de vue…), soit les labos considéraient que ceux-ci étaient dus à une condition préexistante, auquel cas le vaccin ne pouvait pas (soi-disant…) en être la cause.

C’est pour cela que les rapports d’événements indésirables graves et potentiellement mortels liés aux vaccins n’ont pas été trouvés dans les essais contrôlés fournis par les labos. Ils n’ont été détectés qu’une fois que des centaines de milliers de personnes avaient été vaccinées. Et encore, vu la sous-estimation systématique des remontées ainsi que la piètre qualité de notre pharmacovigilance à la française qui considère systématiquement que tout effet secondaire n’est pas dû au vaccin, on peut légitimement penser que les statistiques françaises sont loin du compte et largement minimisées.

La cerise sur le gâteau étant ce document fourni par Pfizer4, suite d’une décision de justice rendue dans le cadre de la liberté d’information aux États-Unis, et qui révèle un vaste éventail d’effets indésirables du vaccin jusqu’alors non reconnus, compilés à partir de sources officielles du monde entier. Pfizer reconnaît qu’il s’agit d’une « forte augmentation » des rapports d’effets indésirables et que même cet énorme volume est sous-déclaré. Plusieurs centaines maladies sont répertoriées (j’ai arrêté de les compter, la liste est trop longue…) , dont beaucoup sont très graves.
Ce rapport relate les évènements survenus entre le 1er décembre 2020 et le 01 février 2021 (soit 3 mois…). Sur les 42086 cas d’effets secondaires remontés, 3 % (1223) se sont conclus par un décès et 1,2 % par un handicape à vie.
Pas mal pour un vaccin que l’on injecte à des personnes en bonne santé, qui n’aurait peut-être même jamais attrapé le Covid  (en tout cas qui n’en serait pas mort…)  et qui, comme le dit notre sinistre de la santé Olivier Véran, n’a aucun effet secondaire mortel ou invalidant5

Donc Pfizer a menti car il savait que le compte-rendu des essais clinique de son vaccin contre le Covid-19 sous-estimait de beaucoup la quantité et la gravité des effets secondaires indésirables, donc toutes les instances gouvernementales corrompues (FDA, EMA et autres officines) savaient mais n’ont rien dit et donc tous les gouvernements ont suivi aveuglément les recommandations de ces officines.

Et donc, une fois de plus on s’est largement foutu de notre gueule !

 

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