COVID-19 : Il est interdit de parler des effets secondaires des vaccins (2)

Une fois de plus, la censure a sévi…

Jessica Rose est une chercheuse (doctorat en biologie computationnelle de l’Université Bar-Ilan en Israël) qui, souhaitant tester son nouveau logiciel de calcul statistique, a utilisé les données du système de déclaration des effets indésirables des vaccins (VAERS). Hélas, les résultats produits depuis l’introduction des vaccins contre la COVID-19 lui ont semblé affolant : Au 7 janvier, il y avait plus d’un million de signalements, dont plus de 21 000 décès. D’autres problèmes notables comprennent plus de 11 000 crises cardiaques, près de 13 000 cas de paralysie de Bell et plus de 25 000 cas de myocardite ou de péricardite1.

Concernant la vaccination chez les adolescents, les chiffres sont alarmants : « Dans les 8 semaines suivant le début de la vaccination contre la COVID-19 au groupe d’âge des 12-15 ans, nous avons trouvé 19 fois le nombre prévu de cas de myocardite chez les volontaires de vaccination par rapport aux taux de myocardite de fond pour ce groupe d’âge ».

Bizarrement, cette publication parue sur le site ScienceDirect de l’éditeur Elsevier a disparu du site Web dans les 15 jours sans que l’éditeur ne fournisse une quelconque explication2.

D’autre part, oser dire que les vaccins à ARN sont « produits biologiques injectables » et que les vaccins COVID utilisent « l’ARNm dans les nanoparticules lipidiques » et que celles-ci sont très toxiques à de quoi fâcher tout labos qui les produisent.

Qu’on se le dise, au grand jamais on ne doit s’élever contre la toute puissance divine des labos. Ces derniers n’œuvrent que pour notre bien et surtout pas pour leurs profits ou le bien-être de leurs actionnaires. Et puis comme le martèle si bien notre sinistre de la santé Olivier Véran : les vaccins n’ont aucun effet secondaire3 !

C’est quoi ces vilains complotistes qui oseraient prétendre le contraire ?

 

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