Comment les labos pharmaceutiques font taire les lanceurs d’alerte

Étant abonné à pléthore de sites et blogs médicaux afin de me tenir au courant de l’actualité, je viens de voir passer un article étonnant (et détonnant…) qui décrit les pressions qu’on subit certains scientifiques ayant publié des rapports sur la sécurité, l’efficacité ou l’intégrité des données de médicaments et contraires aux intérêts de laboratoires pharmaceutiques1. On ne peut d’ailleurs même plus parler de pressions puisque le rapport fait état de menaces d’intimidation ou de poursuites, rétrogradations, pertes de poste ou de subvention, etc.
Tous les cas évoqués sont documentés et ont été vérifiés, la documentation publique des menaces étant disponible.

Au hasard de cette liste de scientifiques ayant eu à subir des menaces, nous y retrouvons Irène Frachon, dont les démêlés avec le laboratoire Servier avaient défrayé la chronique en leur temps.
On peut même remarquer que cette dernière avait aussi fait l’objet de menaces d’intimidation de la part de l’Afssaps2 (maintenant ANSM), agence étatique soi-disant indépendante chargée d’évaluer les bénéfices et les risques liés à l’utilisation des médicaments.
De même, aux USA, certains praticiens ont aussi subi des pressions de la part de la FDA…

Comme quoi même les instances gouvernementales sont infiltrées par les labos et pourries jusqu’à l’os !

Et bien sûr, au grand jamais, il ne peut y avoir eu ce genre de pressions concernant les scientifiques qui auraient osé s’élever contre le manque d’efficacité ou les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19.

Ils ont juste été traités de complotistes et mis au ban de la société…

Comme quoi rien ne change !

 

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