Lorsque les labos imposent leurs diktats aux gouvernements

Le 3 août dernier, les dirigeants de Pfizer et Moderna ont été convoqués devant le sénat australien pour une audience au cours de laquelle ils devaient répondre sous serment sur les politiques de vaccination contre la Covid-19 et la sécurité des vaccins1.

Bien évidemment, les dirigeants de ces deux labos n’ont pas daigné répondre en personne à la convocation, déléguant cette obligation à quelques-uns de leurs sous-fifres. Qui d’ailleurs ne se sont même pas déplacés, préférant dialoguer en visioconférence ; ce qui est plus pratique lorsque l’on ne souhaite pas répondre aux questions…

Malgré les preuves évidentes confirmant que les labos avaient menti, les représentants de ces derniers se sont contentés de plaider l’ignorance, ou encore de répondre évasivement aux questions posées par les sénateurs.

À la question Pfizer a-t-il testé si votre vaccin covid-19 pouvait arrêter ou réduire la transmission du virus avant son approbation et son déploiement fin 2020, les représentants du labo se sont abstenus de répondre. Les sénateurs ont fait pourtant fait remarquer que le PDG de Pfizer (Alfred Bourla) avait lui-même tweeté que son vaccin était 100 % efficace pour prévenir les cas de covid-19, ou encore que le vaccin était un outil essentiel pour aider à arrêter la transmission, alors que malgré un taux de vaccination de plus de 95 % en Australie, la propagation du virus n’a pas été stoppée puisqu’en septembre 2022, ce pays avait enregistré plus de 10 millions de cas de COVID…

Même réponse évasive lorsqu’une sénatrice a évoqué une nouvelle analyse des effets secondaires qui a révélé une augmentation de 36 % des événements indésirables graves. Les plus courants étaient les troubles de la coagulation, y compris la thrombose, et les lésions cardiaques aiguës. Sur 10 000 personnes injectées, 18 connaîtront une complication médicale potentiellement mortelle ou altérante.

Bien d’autres questions non pas eu non plus de réponses, que ce soit le manque de tests cancérigènes, de tests de génotoxicité, de tests d’immunotoxicité, d’études de durée, d’études d’interaction avec d’autres médicaments ; les fameux 90 % d’efficacité (en % relatifs, bien évidemment !) qui n’ont été évalués que sur une courte durée, le groupe placebo ayant été rapidement vacciné (pratique pour minimiser les effets secondaires…) ; ou encore la sécurité du vaccin chez les femmes enceintes et allaitantes.

Toute cette mascarade démontre bien que les labos évoluent au-dessus des lois et n’ont strictement aucun comptes à rendre aux différents gouvernements.

On a d’ailleurs pu le constater précédemment avec le PDG de Pfizer qui refuse toujours d’être interrogé par le Parlement Européen au sujet de ces fameux contrats conclus dans la plus totale opacité2 ; alors qu’en pleine pandémie il n’a pas hésité pas à se rendre à la remise d’un prix alakon au cours de laquelle il a quasiment roulé une pelle à Ursula Von Der Leyen tandis que nous, pauvres sous-citoyens que nous sommes, devions porter un masque et respecter les gestes barrières (y compris pour les vaccinés…) !

 

Depuis le début, cette campagne de vaccination dégage une odeur nauséabonde, et ça ne s’arrange pas au vu des diverses révélations qui émergent ou des questions que certains gouvernements commencent à se poser. Que ce soit sur les mensonges concernant sa capacité à protéger de la contamination (le fumeux « Tous vaccinés, tous protégés »…), son efficacité de plus en plus contestée, la gravité de ses effets secondaires ou encore sur le secret entourant les négociations des contrats.

N’oublions pas non plus qu’il a permis la mise en place du tristement célèbre « pass sanitaire », rapidement devenu « pass vaccinal » ; contrainte sans aucune justification sanitaire mais qui a légitimé, avec l’assentiment d’une majorité soumise de la population, l’ostracisation de ceux qui ne souhaitaient pas se faire vacciner. Il a aussi surtout permis de tester la capacité de la population à accepter, sur la base de fallacieux prétextes, la subordination et la restriction des libertés…

 

 

2 réflexions au sujet de “Lorsque les labos imposent leurs diktats aux gouvernements”

  1. Encore une fois, merci pour les infos que vous nous transmettez et leur analyse (que l’on ne trouve pas dans les médias mainstream) !
    Avez-vous des données sur les mortalités comparées 2019-2020-2021-2022 ? Il pourrait être intéressant de visualiser les évolutions des chiffres entre les périodes avant Covid, Covid, post-Covid, post vaccins…

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    • Je vous avoue que que j’ai eu la flemme de chercher ! Les chiffres, partiellement disponibles, étant répartis au sein de divers sites (EUROSTAT, l’INSEE, la DREES, etc.), cela m’imposerai un lourd travail de recherche.
      Par contre, je vous recommande le livre de Pierre Chalot « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels » qui s’est penché sur la question. Ses précédentes interventions sur sa chaîne YouTube sont impressionnantes et il se fait régulièrement critiquer par les médias largement subventionnés par le gouvernement, c’est un signe de qualité 🙂

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