Une tribune absurde contre le complotisme envers les médicaments et les informations médicales

Un collectif de médecins et de chercheurs vient de publier une tribune1 contre, je cite : les dérives constatées sur les réseaux sociaux et dans certains médias à grande audience, qui partagent et diffusent de fausses informations scientifiques et médicales au détriment de la santé publique et pour soutenir la législation sur les dérives sectaires en cours de révision à l’Assemblée nationale, plus précisément en introduisant des sanctions pour ceux qui incitent à abandonner ou dénigrer un traitement médical reconnu (cf. la fameuse loi sur « la provocation à l’abandon de soins2 »)

Je ne suis pas certain que ces signataires aient bien mesuré la pleine mesure liberticide de leur adhésion à cette tribune.

Donc, ce texte soutient les professionnels de la santé qui s’efforcent de fournir au grand public des informations claires et loyales, fondées sur les données scientifiques.
Ces professionnels feraient bien de faire plus que s’efforcer lorsque l’on constate tous les scandales sanitaires qui ont émergés ces dernières années3 et 4 (voir une liste assez exhaustive des plus gros procès ici5 et mention particulière pour Pfizer qui a été condamné 71 fois depuis 2 000 avec une amende record de 2,3 milliards de dollars en 20096), tout ceci à cause de labos qui ont volontairement mentit sur les effets secondaires indésirables de leurs produits.
Apparemment, plusieurs centaines de millions de morts ne font pas le poids face à leur appétit de profits.

Quant aux médicaments qui sauvent des vies, bien sûr qu’il y en a beaucoup (et heureusement…), mais il y a aussi beaucoup de désinformation sur certains produits, tels ceux contre le cholestérol, ou encore les IPP ou les antiagrégants, pour les médicaments que j’ai étudiés et au sujet desquels les labos pharmaceutiques exagèrent plus que fortement l’efficacité de leurs médicaments, tout en minimisant encore plus que fortement leurs effets secondaires.
Mais surtout, évitez de mélanger pourcentages relatifs et absolus dans vos communiqués selon ce qui vous arrange. Cela fera un mensonge de moins !

Je parlerais peu des vaccins contre la covid, pour lesquels mes connaissances sont trop parcellaires, mais suite à la covid que j’ai attrapé il y a 15 jours, et pour laquelle je me remets doucement (toux sèche gênante autant qu’épuisante), j’ai découvert que nous en sommes au troisième variant (JN.1 ou Juno de son petit nom !) depuis Omicron, que celui-ci représente quasiment la majorité des infections et qu’à chaque mutation (le précédent BA.2.86 présentait plus de 30 mutations dans sa protéine de pointe…), son échappement immunitaire augmente, rendant la perspective d’une immunité causée par une précédente contagion par un autre variant ou encore celle conférée par la vaccination (toujours basée sur Omicron…) contre l’infection et la transmission totalement illusoire7.
Un peu comme si on vaccinait contre la grippe avec une souche datant de plusieurs années et n’ayant qu’un lointain rapport avec le variant en cours…

Mais vaccinons, vaccinons, il faut bien vider les stocks.
À ce propos, L’UE vient de jeter plus de 215 millions de doses de vaccin contre la COVID-198, pour un montant de plus de 6 milliards d’Euros (la France, du haut de toute sa magnificence, ayant décidé de ne pas divulguer le nombre de doses jetées ; obscurantisme, vous dîtes ?). Eh bien, la gabegie continue puisqu’un parlementaire européen a récemment posé la question de savoir qui a eu l’idée saugrenue de commander 146 millions de doses supplémentaires de vaccin contre la COVID-19, pour un montant tenu secret9 ?
Sans compter que la transaction est tout à fait illégale : Étant donné les manquements détectés par la Cour des comptes lors des précédents achats, les mécanismes d’évasion fiscale rapportés par l’ONG SOMO, la résiliation anticipée des contrats par différents États, les pénalités appliquées par Pfizer et les procédures judiciaires en cours, aucun contrat ne devrait pouvoir être signé, en vertu de l’article 136 du règlement financier.

De toute façon, L’UE s’en fiche, elle n’a de compte à rendre à personne et pour finir, c’est nous, contribuables, qui réglons l’addition !

Alors pour ces messieurs (et dames…) ayant signé cette sulfureuse tribune, balayez déjà devant votre porte avant de vouloir prétendre museler ceux que j’appelle les « lanceurs d’alerte » qui ne tirent aucun profit financier de leurs actions, juste la satisfaction de dire la vérité et de protéger leurs concitoyens.
Faîtes déjà le ménage dans vos relations caustiques ou financières avec les labos et que vos propos ne soient pas dictés par ces derniers. Après, on pourra commencer à parler sur des bases saines !

Comme disait un vieil africain : Lorsque l’argent parle, la vérité se tait…

 

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