L’affaire entourant l’étude dont je vais parler est assez particulière.
Celle-ci, menée au Centre Médical Henry Ford a comparé la santé d’enfants vaccinés et non vaccinés nés entre 2000 et 20161. Initialement, cette recherche avait pour but de rassurer les parents sur la sécurité des vaccins.
Mais ses résultats ont démontré exactement l’effet inverse.
Les premiers surpris ont été les chercheurs eux-mêmes, qui ne s’attendaient pas à de tels résultats. À tel point que ceux-ci, sous la pression, se sont sentis obligé d’enterrer cette étude.
Mais cette dernière vient d’être exhumée et a été introduite dans le dossier du Congrès américain le 9 septembre 2025 lors d’une audition au Sénat sur « La corruption de la science » (vaste sujet…).
À la lecture de cette étude, on comprend mieux pourquoi celle-ci a dérangé les labos et leurs stipendiaires.
Jugez-en :
- Taux d’asthme 4,29 fois plus élevé chez les vaccinés.
- Taux d’atopie (prédisposition aux allergies) 3,03 fois plus élevé.
- Maladies auto-immunes 5,96 fois plus fréquentes.
- Troubles du neurodéveloppement 5,53 fois plus élevés, incluant des retards de développement (3,28 fois plus) et des troubles de la parole (4,47 fois plus).
Plus troublant encore, certaines pathologies n’ont été retrouvées que chez les vaccinés :
- 262 cas de TDAH, contre 0 chez les non-vaccinés.
- Des troubles d’apprentissage et des déficiences intellectuelles uniquement dans le groupe vacciné.
Globalement, après dix ans, 57 % des enfants vaccinés souffraient d’un problème de santé chronique, contre seulement 17 % chez les non-vaccinés.
En parcourant cette étude, j’ai eu aussi la surprise de découvrir que la durée moyenne des études concernant les autorisations de mise sur le marché des vaccins est de… seulement 3 mois…
Ce qui permet d’éliminer une grosse partie des effets secondaires. Quant à l’efficacité, sur une aussi petite durée, comment dire…
Plusieurs études par le passé sont aussi arrivées peu ou prou aux mêmes conclusions… Mais bon, comme disait notre ancienne ministre de la Santé Marisol Touraine : La vaccination, ça ne se discute pas !
. Et la moindre critique de celle-ci, fût-elle justifiée, vous fait immédiatement basculer dans le clan des antivax et des complotistes, voire dans celui des platistes, de l’extrême droite, des trumpistes ou des poutiniens et j’en passe…