La France néglige les effets secondaire des médicaments

C’est le constat effectué par cette étude initiée en 2015 mais parue fin 2016 : « Healthcare Access and Quality Index based on mortality from causes amenable to personal health care in 195 countries and territories, 1990–2015: a novel analysis from the Global Burden of Disease Study 2015 » qui compare les systèmes de santé de 195 pays et régions grâce à un indice : le HAQ (Health Quality and Access). Celui-ci est basé sur une analyse de la mortalité évitable et va de 0 à 100.

Il semblerait que la prise d’aspirine chez les plus de 75 ans provoques plus de dangers que de bénéfices

En effet, bien que celle-ci diminue les récidives cardiovasculaires, elle augmente dans le même temps les saignements gastro-intestinaux dont la proportion et la gravité augmente avec l’âge.

Ce cardiologue est… comment dire… un parfait abruti. Et encore je suis poli !

Un monsieur dont j’ai fait connaissance depuis peu (et oui, là où je m’entraîne, je suis le confident de tous les problèmes de statines, de cholestérol, etc.) m’a raconté l’anecdote suivante : à la suite de problèmes cardiovasculaires ayant imposé la mise en place de stents, il s’est vu prescrire bien évidemment des statines. Hélas pour lui, celles-ci lui ont provoqué non seulement douleurs et crampes, mais aussi une faiblesse musculaire au niveau des membres inférieurs à un point tel qu’il lui arrivait régulièrement de s’écrouler en pleine rue, ses jambes ne le supportant plus.

Où l’on reparle des inhibiteurs de la CETP

Je croyais que les inhibiteurs de la CETP (chargés d’augmenter le cholestérol HDL et de diminuer légèrement le cholestérol LDL) étaient définitivement morts et enterrés. Il faut dire que tous les essais de cette molécule ont été, au mieux négatifs, au pire catastrophique (augmentation conséquente de la mortalité).